Communiqué de presse

Message du Secrétaire général de l’ONU à l’occasion de la journée internationale des victimes de disparition forcée

30 août 2021

Strictement interdites en toutes circonstances par le droit international des droits de l’homme, les disparitions forcées continuent pourtant d’être utilisées dans le monde entier comme un moyen de répression, de terreur et pour étouffer la dissidence. Paradoxalement, elles sont parfois utilisées sous prétexte de lutte contre la criminalité et le terrorisme. Les avocats, les témoins, les opposants politiques et les défenseurs des droits humains en sont les premières victimes.

Les disparitions forcées privent les familles et les populations du droit de connaître la vérité sur le sort de leurs proches, d’exiger des comptes, et d’obtenir justice et réparation. En limitant la possibilité de rechercher les personnes disparues et d’enquêter sur les disparitions forcées présumées, la pandémie de COVID-19 n’a fait qu’exacerber l’agonie et l’angoisse causées par ces disparitions.

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Désiré Ndagijimana

Désiré Ndagijimana

CINU
Officier de l’Information Publique
Responsable du Centre d’Information des Nations Unies (CINU) pour le Burundi, Désiré coordonne le travail du Groupe Interagences de Communication des Nations Unies. Il fournit un soutien substantiel au RC et UNCT dans la conception, la mise en œuvre et le suivi de la stratégie commune de plaidoyer et de communication de l'ONU, pour soutenir la mise en œuvre de l'Agenda 2030 pour le développement durable, y compris la conduite de campagnes/ événements de sensibilisation identifiés pour promouvoir les ODD et les priorités de développement de l'ONU au Burundi.

Entités des Nations Unies impliquées dans cette initiative

CINU
Centre d'information des Nations Unies

Objectifs poursuivis à travers cette initiative